samedi 24 août 2019

IL Y A PLUS QU'URGENCE ! Les techniciens du sacré nous avertissent....




L'AMAZONIE EST LE POUMON DE LA TERRE... ET LE CHEF INDIEN RAOUNI AVERTI QUE LE COMPTE À REBOURS POUR QUE LA TERRE S'ENFLAMME EST EN ROUTE ! TOUS, PARTAGEZ CETTE PUBLICATION ! ET AU MAXIMUM ! Et, en leur écrivant ! interpellez votre Chef d'état, vos élus locaux et régionaux !



Incendies en Amazonie : le chef indien Raoni demande le départ de Bolsonaro "le plus vite possible" - Franceinfo Il y a 4 heures. - "Il faut qu'on le fasse partir le plus vite possible." Le chef indien Raoni ne mâche pas ses mots contre le président brésilien, alors que l'Amazonie, la plus grande forêt tropicale de la planète, est en proie à de graves incendies, provoqués essentiellement par la déforestation qui s'accélère. "Je pense que le président français et d'autres forces internationales peuvent faire pression pour que le peuple brésilien fasse partir [Jair] Bolsonaro et que le Congrès vote sa destitution", avance, dans une interview à l'AFP, vendredi 23 août, le chef du peuple kayapo, qui se bat inlassablement pour le respect des droits des communautés indigènes.
Je demande une aide extérieure. Je veux qu'il y ait une mobilisation générale pour qu'on éteigne ces feux. On ne peut pas laisser brûler ça comme ça.
Raoni, chef indien
à l'AFP
"C'est une catastrophe, ce qu'il est en train de faire avec nous", poursuit Raoni Metuktire au sujet du président d'extrême droite brésilien, qui encourage le développement de l'agriculture et de l'exploitation minière sur les terres indigènes. "Il veut en finir avec la forêt, avec nous, c'est vraiment terrible ce qu'il fait", renchérit le cacique de 89 ans, figure internationale de la défense de l'Amazonie. "Dans le temps, les présidents du Brésil ne menaient pas des actions mauvaises, n'incitaient pas à la destruction comme ça. Et maintenant ce nouveau président fait tout de travers."
"C'est [lui] qui excite ces gens, comme les fermiers. Ils l'écoutent. Il pensent qu'ils ont tous les droits et se mettent à brûler les forêts" pour les cultures, ajoute le chef indien. "Il en va ainsi pour les coupeurs de bois, les chercheurs d'or. Ils se lâchent tous car sa parole les pousse à détruire la forêt beaucoup plus vite", accuse Raoni.
Si on ne sauve pas le peu qui reste [de l'Amazonie] je vous garantis qu'on va avoir des feux encore plus importants et ce sera la planète qui sera en feu. Ce n'est que le début.
Raoni, chef indien


jeudi 25 juillet 2019

UN RECHAUFFEMENT GLOBAL ! = manifestation concréte de l'A.A.A's / Amplification des Ampleurs des Aggravations.


À partager le plus largement possible, non ?

UN RECHAUFFEMENT GLOBAL !

Alors qu'une bonne partie de l'Europe subit son deuxième épisode de fortes chaleurs en un mois, deux études distinctes analysent 2000 ans de tendances de l'histoire climatique récente de notre planète. Les chercheurs ont utilisé des données de température compilées à partir de près de 700 indicateurs : des anneaux d'arbres, des carottes de glace, des sédiments lacustres et des coraux ainsi que des thermomètres modernes.
La première étude, publiée dans la revue Nature, met, par exemple, en évidence que lors du "petit âge glaciaire" (de 1300 à 1850) s'il a fait extraordinairement froid en Europe et aux Etats-Unis pendant plusieurs siècles, il n'a pas fait froid partout sur la planète. "Lorsque nous retournons dans le passé, nous trouvons des phénomènes régionaux, mais aucun n'est mondial", explique Nathan Steiger de l'Université Columbia à New-York. "Alors qu'actuellement, le réchauffement est global. 98% du globe s'est réchauffé après la révolution industrielle", ajoute-t-il.
Une augmentation rapide et régulière des températures
Un deuxième article, dans Nature Geoscience, examine la moyenne des variations de température sur de courtes périodes, de quelques décennies chacune. Leurs conclusions sont claires : à aucun moment depuis le début de notre ère, les températures n'ont augmenté aussi rapidement et aussi régulièrement qu'à la fin du XX siècle quand, après-guerre, la production (alimentée par les combustibles fossiles) et la consommation ont atteint des niveaux sans précédent.
Ce résultat "souligne le caractère extraordinaire du changement climatique actuel", explique Raphael Neukom de l'Université de Berne en Suisse, coauteur de l'étude. Ces études "devraient enfin stopper les climatosceptiques qui prétendent que le réchauffement climatique observé récemment s'inscrit dans un cycle climatique naturel", souligne Mark Maslin de l'University College de Londres, commentant les travaux.